Les chinois approchent les 2 milliards, les indiens bientôt 1,5 milliard, les occidentaux 1,2 milliard, les africains légèrement au dessus des 500 millions d’âmes sur les 7 milliards d’individus que compte notre planète. Trop peu.
Tout avait pourtant bien commencé au début des années 80. La croissance démographique était forte, très peu d’épidémies, les experts étaient unanimes à penser qu’à ce rythme les africains auront dépassé le milliard d’individus à l’orée 2000, seraient la première puissance démographique du monde si rien n'est fait pour entraver ce beau dynamisme créationniste.
Nous en sommes beaucoup loin, et tout pousse à penser que si une forte conscience n’est opérée dès maintenant, la race noire sera celle qui stagnera le plus alors que tout y est pour qu’elle fasse la course en tête, suffirait qu'elle ait conscience de son potentiel, fasse tout simplement usage de ce don du ciel qu’on lui connaît pour peupler la terre.
Les projections aux USA donnent à observer en 2050, une croissance appréciable de la population hispanique et asiatique, contrairement à la population afro-américaine qui elle donne l’impression de ne plus suivre le rythme.
Ceux qui le voudront s’essayeront de comprendre par quel miracle on en arrive à cette situation en moins de 30 ans, comment se fait-il que ces redoutables géniteurs soient aujourd’hui à la traîne d’une bataille qui semblait gagnée d’avance.
On a longtemps claironné qu’il fallait arriver à une maîtrise des naissances en Afrique. A coup de subventions les programmes de planning familial ont occupé l’espace de communication, combinés à cette mondialisation cupide qui secoue nos fondamentaux, désacralise nos valeurs et traditions, l’Homme africain en est à rechercher ses repères. Trop de choses lui échappent, y compris cet acquis de base qui assure la relève générationnelle et donne espoir de ce que avec le temps, parce qu’il y’aura toujours des africains au moins aussi nombreux d’une génération à l’autre, ce réveil, cette renaissance annoncée de l’Afrique par ses enfants se ferait.
500 à 560 millions de black là où on escomptait au bas mot 1,5 milliards, le compte n’y est pas. L’une des solutions en attendant de se donner les moyens de faire face aux maladies délibérées qui déciment une bonne partie des nôtres, l'une des solutions, c’est de se mettre à l’œuvre, de faire des enfants tout simplement, le maximum qu’il nous soit possible d’offrir au monde.
Une campagne se doit d’être montée sur ce thème. Allez, multipliez-vous, remplissez autant que peut se faire cette terre qui est nôtre d’autant d’africains qu’il vous soit envisageable d’en faire.
Assez de discours ? Joignons donc l’acte à la parole. Faisons des enfants, et surtout soyons en fiers. Pour le reste, le bon Dieu et notre temps s’en chargeront.
Qui sait de quoi demain sera fait.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire