En cette veille de vote aux USA qui devrait voir un candidat atypique être propulsé à la tête de la première puissance mondiale, il apparaît évident que l'heure est pour les éditorialistes à qui aura le mot le plus haut.
Après le 11 septembre 2001, l'éditorialiste du journal français le Monde (JM Colombani) s'était illustré par un certain "nous sommes tous américains" qui avait été jugé par ses contemporains comme étant l'un des plus pertinents à traduire la solidarité de coeur dans l'épreuve.
Un conseil à donner à ceux qui en ont la charge ? soyez vous-mêmes, dites les choses comme elles viennent, ça n'est pas simple de vouloir trouver le "mot qui tue" pour décrire cet évènement à venir qui n'a nullement son pareil.
L'évènement en lui même est indescriptible, inattendu, énormissime. Les mots les plus simples, ceux de l'enfance, de l'émerveillement me semblent suffirent à peine à cerner l'émotion, la sensation, l'incroyable qui se dessine à l'horizon aux USA.
Pour ce qui me concerne, afin que les générations à venir s'en souviennent, je me contenterai - n'étant pas du métier - d'aller à la quête d'un max d'éditoriaux à travers le monde consacrés à "ce truc de fou" qui s'annonce aux USA.
Messieurs les éditorialistes, pour ce mercredi, vos superlatifs seront les miens.
Bonne inspiration
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire